Compléments alimentaires, crèmes solaires, shampooings et topiques,
rides et ridules, toxicité, pénétration,
efficacité d’un principe actif...
Compléments alimentaires, crèmes solaires, shampooings et topiques,
rides et ridules, toxicité, pénétration,
efficacité d’un principe actif...
Cellulite
Les principes actifs de certaines crèmes lipolytiques dites "anti-cellulite" arrivent à pénétrer au-delà de la couche superficielle et peuvent atteindre l'hypoderme où elles peuvent contribuer à agir sur les lipides qui s'y trouvent.
Tests d'efficacité : pour être vendus au grand public, les fabricants doivent compléter un dossier dans lequel sont décrits les tests d'évaluation qui ont été réalisés sur ces produits.
Cosmétiques
Pour certaines crèmes à usage cosmétique contenant des actifs reconnus, leurs propriétés sont à la limite du cosmétique et de la thérapeutique. Des émollients, par exemple, peuvent ainsi avoir une action anti-inflammatoire locale et offrir un réel effet thérapeutique. Des produits à base de vitamine C ou E pourraient avoir des effets antioxydants qui contribuent à la prévention du vieillissement cutané.
Les cosmétiques "bio" sont en vogue, mais une peau sensible peut réagir aux actifs naturels, surtout s'ils sont très concentrés. Un conseil applicable à tous les produits cosmétiques : tester sa tolérance d'abord sur une petite zone non visible avant de l'essayer plus largement.
Kératinocyte
Peau humaine maintenue en survie par culture d’organe. Modèle utilisant une peau humaine complète avec l’hypoderme. Cette méthode permet de répondre à l’essentiel des objectifs de développement en dermatologie cosmétique : protection et hydratation, vieillissement cutané, peau réactive, altération du tissu conjonctif, pollution sur le tissu cutané, inflammation ou irritation, agression physique de la peau (brûlure), hyperpigmentation cutanée...
Peau maintenue en survie
Les tests sur les animaux sont de plus en plus rares dans l'industrie des cosmétiques.
La peau humaine maintenue en survie est une méthode innovante qui permet de limiter le recours aux tests in vivo avec biopsie, tout en privilégiant l'étude des performances d’un produit chez l'homme. Elle permet d'analyser très rapidement l'efficacité et la tolérance d'un actif, d'un produit complexe, ou d’un rayonnement
Nourrir sa peau de l'intérieur, bronzer, maigrir ...
Les Français dépensent plus d'un milliard d'euros en compléments alimentaires par an. Près d’un adulte sur cinq en consomme.
Tout ce qui est naturel n'est pas nécessairement bon pour la santé, et si le fabricant est responsable de la sécurité des produits qu’il commercialise, il est important pour la santé du consommateur de respecter scrupuleusement les conditions d'emploi fixées par le fabricant. Ces produits, souvent considérés anodins par les consommateurs, peuvent dans certaines conditions, les exposer à des risques.
A la différence des médicaments, un complément alimentaire n'est pas soumis à autorisation de mise sur le marché (AMM). Cependant la présence d’ingrédients pharmacologiquement actifs dans certains compléments alimentaires peut provoquer des effets indésirables, c'est à dire une réaction nocive se produisant dans les conditions normales d'emploi ou résultant d'un mésusage.
Les professionnels de santé (médecins, pharmaciens, diététiciens) ou des consommateurs à titre individuel qui identifient des effets indésirables chez leurs patients sont invités à faire une télédéclaration à l'Anses. L'Agence peut décider de mener une évaluation des risques liés à la consommation de certains produits, voire de certains ingrédients.