Chirurgie plastique et reconstructrice,
malformations osseuses, oreilles décollées,
fractures du nez, fentes labio-palatines,
tumeurs cutanées, cancers de la peau...
Excès osseux de l'étage inférieur du visage en hauteur et dysharmonie faciale. Outre les maladies parodontales, un déséquilibre dentaire et squelettique de la mâchoire peut également causer des troubles de langage, ainsi que des anomalies de la respiration lors du sommeil (apnée du sommeil).
Asymétrie de face et de côté altérant l'harmonie du visage du patient depuis la joue jusqu'au menton.
Cette pathologie se développe à la naissance de l'individu et s'accentue lors du vieillissement du sujet.
1 - Cas de menton en retrait avec étage inférieur de hauteur excessive. Lorsque le rapport des arcades dentaires est normal, il n'y a pas lieu de le modifier. On effectue une simulation de profil du tracé de la section osseuse (ostéotomie) et du déplacement à opérer vers l'avant (génioplastie)
2 - Retrait et déficit de hauteur de l'étage inférieur de la face.
Résultat après ostéotomie sagittale, génioplastie et traitement orthodontique associé
L'orthodontie de l'adulte associée à la chirurgie maxillo-faciale permet également de corriger les malpositions des dentitions supérieures et inférieures (malocclusion dentaire).
Menton fuyant, menton en galoche, double menton, peau relâchée... le chirurgien maxillofacial pourra corriger les défauts esthétiques et fonctionnels de la face
Outre l'objectif d'obtenir un résultat naturel et harmonieux, une rhinoplastie vise à améliorer une fonction respiratoire dégradée. L'intervention consiste à modifier la forme ou la position des os et des cartilages, qui constituent la charpente solide du nez.
La rhinoplastie fonctionnelle a donc pour but de redresser la cloison nasale, source d'une difficulté respiratoire alors que la rhinoplastie esthétique permet de modifier la morphologie du nez.
La prise en charge d'une fracture mandibulaire vise à restaurer des rapports inter-dentaires, permettant un "articulé dentaire" (engrènement des dents les unes par rapport aux autres) identique à l'état antérieur.
Hématome et tuméfaction sont des cas relativement simples mais fréquents de fracture de l'angle mandibulaire, sans autres lésions associées.
La restitution d'un volume osseux compatible avec la mise en place d'implants pérennes est possible en recourant à une première étape, celle de la greffe osseuse ou de tout autre matériau biocompatible ayant la même finalité.
L'augmentation de volume osseux pour permettre la mise en place d'implants peut être réalisée par des biomatériaux : os de banque, hydroxyapatite etc. avec des résultats comparables.
Le remplacement immédiat des dents manquantes par des implants dentaires est la solution la plus efficace pour prévenir la résorption osseuse
L'augmentation de volume osseux pour permettre la mise en place d'implants peut être réalisée par de l'os autogène prélevé sur le patient lui-même.
Lors d'un contrôle dentaire la découverte d'un kyste dentaire peut être découvert fortuitement dans une bouche apparemment saine. Les kystes dentaires sont généralement bénins et se soignent très facilement dans la plupart des cas.
Cette pathologie assez fréquente est pourtant souvent diagnostiquée et traitée longtemps après son apparition.
Les douleurs au niveau de la mâchoire et des joues deviennent alors difficilement supportables, passé un certain stade de croissance de la tumeur.
Intérêt de la radiographie panoramique dans le dépistage des lésions : une grande variété de kystes peuvent se former dans la région maxillofaciale et il est parfois difficile de les identifier.
La vue post-opératoire montre la cavité qui était occupée par le kyste (la sonde donne une idée de ses dimensions).
Opérer les kystes maxillaires est fortement recommandé car ils ont une forte tendance à grossir et fragiliser l'os de la mâchoire.
Un traitement endodontique non chirurgical permet habituellement la guérison des petites lésions kystiques. Les lésions plus grosses telles cette illustration peuvent nécessiter d'autres traitements.
Les carcinomes se développent à partir de cellules de l'épiderme, les kératinocytes. Ce sont les plus fréquents des cancers de la peau.
Toute lésion ou grosseur cutanée suspecte doit être vue par un médecin. Un prélèvement de peau (biopsie) de la lésion sera examiné au microscope pour confirmer le diagnostic. Si des cellules tumorales sont bien présentes, un traitement sera nécessaire.
Sont concernées par la dermato-chirurgie toutes les lésions cutanées (anomalies de la peau) : lésions malignes, lésions douteuses et lésions bénignes, qui peuvent parfois se transformer et évoluer vers la malignité
Acné et cicatrices
Certaines lésions purement bénignes peuvent être retirées parce qu'elles sont gênantes, soit du fait de frottements ou d'irritations, soit pour des raisons purement esthétiques.