MÉTA Covid

ADN, ARN messagers

Au-delà de la génétique
et de la biologie moléculaire.
Les sciences de la complexité,
nouvelles sciences du Vivant

Une révolution en marche

coronavirus

Marc Halévy est polytechnicien, ingénieur nucléaire, MBA et docteur en physique théorique, en philosophie et histoire des religions. Il a été longtemps collaborateur aux USA du prix Nobel Ilya Prigogine.
Son travail primordial consiste à construire le pont entre la théorie des systèmes complexes et l'évolution socioéconomique de l'humanité. Il anime depuis plusieurs années des conférences et des séminaires, Il a publié une quarantaine de livres et des centaines d'articles.

Dossier publié le 30 décembre 2021

Publication de l'ouvrage : janvier 2022

CORONAVIRUS. La comédie continue…

Par Marc Halévy et Néa Bernard - Éditions LAURENCE MASSARO

Les « spécialistes » – médecins, politiciens ou autres – qui pérorent depuis deux ans sur la « pandémie » - qui est devenue endémique - font de la biologie darwinienne primaire où le « hasard » des mutations génétiques induirait des « variants » totalement imprévisibles (et toujours moins virulents et dangereux). Ils font l’impasse totale sur les évolutions épigénétiques des virus ARN qui mutent, surtout poussés par un « élan de vie » (une intention systémique) qui les fait s’adapter à leur milieu (et à ses défenses), dans le seul but de pouvoir s’y reproduire à long terme. Tout ce qu’un virus cherche, c’est à survivre en paix, discrètement, sans être pourchassé !

Les batteries de vaccins, les masques et les règles de distanciation n’y changeront pas grand-chose et se révèlent bien peu efficientes. De plus, la vaccination diminue le niveau collectif naturel d’immunisation : un organisme vacciné ne cherche, logiquement, plus à développer sa propre immunité. Il y a donc de plus en plus de gens contaminés… mais de moins en moins dangereusement, sauf en cas de grande faiblesse ou de comorbidité grave.

Peu importe la science, ce qui compte, c’est la communication… et bien des profiteurs attisent cette communication directive. Il faut donc impérativement que les politiques et les médias cessent de faire du coronavirus leur fonds de commerce quotidien !

Publication : 30 novembre 2020

CORONAVIRUS. Autopsie d'un délire

Par Marc Halévy - Éditions LAURENCE MASSARO

La pandémie est devenue le syndrome et le symbole fantasmagoriques de la chaotisation globale de notre monde actuel. La covid-19 de 2020 est un rien dans l'Histoire dont on a fait toute une histoire pour rien. Vous voulez en savoir plus ?

RETOUR EN 2020

Nos administrations ont cafouillé mais heureusement les professionnels de santé de terrain ont fait un travail formidable. Les entreprises de désinfection travaillaient, elles aussi, pour lutter contre la propagation du virus. Et l'on rendait hommage aux autres héros de la pandémie moins connus : les travailleurs de l'ombre, et l'auto-discipline des citoyens, qui ont permis à notre pays de ne pas s'effondrer.
Voir le dossier du 26 avril 2020 : Les vrais héros de la pandémie

pandémie Covid 19

Le rebelle de l'Olympe académique

Le 31 janvier 2020, le Pr Didier Raoult déclarait : "Je ne suis pas sûr que les mesures d'isolement n'aient jamais marché dans l'histoire de l'humanité... Je ne fais jamais de prédictions, je ne suis pas devin, mais on en trouve d'autant plus (des virus) parce que l'on en teste plus. Méfions-nous aussi des paniques et d'une potentielle psychose qui peuvent être plus dangereuses que l'épidémie elle-même."
Qui aurait pu imaginer que cette déclaration anodine déclencherait de tels orages noosphériques ? Comment ce professeur marseillais de génie a-t-il pu susciter autant de polémiques au point de ramener l'humanité du IIIème millénaire aux péplums Hollywoodiens où les Olympiens combattent les titans, récits modernes inspirés de nos héros antiques ? Sur les plateaux TV s'écharpent les titans VRP de Big Pharma, ces humains trop humains prenant pour cible les scientifiques de l'Olympe, idoles pour les uns, bons samaritains qui soignent, guérissent et soulagent pour les autres. Dans l'ombre ourdissent les prétendants à l'Olympe qui ne travaillent qu'à asseoir favorablement leur position.

Les conflits idéologiques jonchent l'histoire des sciences. Certaines personnes ont une approche religieuse des théories scientifiques et la remise en cause de leur croyance peut déclencher des réactions très violentes.
Ainsi se résume la crise sanitaire de l'année 2020 dont "l'égrégore planétaire Covid-19" laisse présager la montée en puissance de la Noosphère, cette couche de pensée qui commence à couvrir la biosphère de la vie. Mais son émergence se fera dans la douleur, comme autrefois les accouchements.

décontamination Covid

SAPIENS DEMENS, l’ange et la bête

"L'imprévoyance est la règle alors qu'elle devrait être l'exception. En Occident, en dépit de nos infrastructures médicales de pointe, nous ne savons plus gérer, ou mal, les maladies contagieuses." En 2003, le Pr Raoult publiait un rapport "prémonitoire" de 400 pages sur le risque d'apparition de mutants de virus respiratoire et de pandémie mondiale. Ce découvreur-bâtisseur infatigable a créé, en 2011, l'IHU Méditerranée infection. La réussite insolente de ce Pôle d'Excellence stratégique au rayonnement international pour lutter contre les maladies infectieuses a suscité beaucoup de jalousies et de ressentiment de la part de nos autorités sanitaires dont l'emprise tentaculaire de sa bureaucratie pénalise lourdement l'efficacité et l'autonomie du personnel soignant du pays. En conséquence, la santé des malades se détériore.

Constat noologique : "Dans les désordres de l’esprit s’agitent les angoisses, craintes, fantasmes, délires et aveuglements. Quand l’affectivité et l’émotion s’en mêlent, il n’y a plus d’échanges d’idées possibles. Antagonismes, conflits, rivalités. Divisions en clans, castes et classes s'affrontent, se concurrencent, se combattent dans une lutte sans fin". Edgar Morin.

Les aventuriers de la science

Alexandre Yersin et Georges Bernard, Viet Nam

Alexandre Yersin, découvreur du bacille de la peste (présenté plus en détail dans la partie 2 de l'ouvrage "CORONAVIRUS. La comédie continue..."), et Georges A. Bernard.
Having earned his Doctorate degree in Philosphy & Letters with aggregation in Political Science, Economic & Pharmaceutical Science, Georges A. Bernard left Alsace to travel the world.

Il faut protéger les forts des faibles

L'Histoire montre que chaque fois qu'une société est en crise - c'est notre cas - elle cherche des coupables et désigne des boucs émissaires.
La plupart des gens qui ont sauvé le monde ont été condamnés à mort ou au silence. Les gens de talent ont tant de mal à survivre car depuis la cour de récré jusqu'au Prix Nobel ils sont jalousés. C'est pour cette raison que Michel Serres recommandait de les protéger contre les faibles. Dans l'ouvrage "CORONAVIRUS. La comédie continue..." sont présentés quelques grands inventeurs qui sont morts misérables, ou bien dans une solitude volontaire. Parmi eux, le pastorien Alexandre Yersin découvreur du bacille de la peste.
De 1347 à 1353, la peste noire qui se transmettait à l'homme via la puce aurait causé entre 25 à 34 millions de victimes en Europe. De retour dans la deuxième partie du XIXe siècle, ce fléau fera près de 100 millions de morts à travers le monde.

PRIMUM NON NOCERE

"En premier ne pas nuire". "D'abord, ne pas faire de mal"

en premier ne pas nuire

De la grippe aviaire au Covid-19, Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été. Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps. Il faut rendre à la science sa juste place, ni magique ni incompétente, et accepter ses limites.

L'univers Raoultien est associé à un bestiaire où cohabitent Conan la Bactérie, Mimivirus le Géant et une ribambelle d'amibes-boucliers sacrifiées par ces ingrats virus qui n'hésitent pas à assassiner leur hôte. Dans ce lupanar biologique copulent et s'entretuent brigands et malfaiteurs, un monde fou prêt à toutes les orgies

aventuriers de lascience Pasteur Vietnam

L'Olympe du vivant

Dans l'Olympe du vivant, divinités, devins, idoles, héros, humains, surhumains, transhumains, mortels et immortels, chimères, chauve-souris-pangolin, virus et bactéries se chamaillent ou se déchirent et s'exterminent… Mais qu'avons-nous en commun hormis de nous livrer souvent une guerre féroce avant de nous réconcilier, jusqu'aux prochaines hostilités ? L'ADN, l'architecte du Vivant, c'est le dieu de l'Olympe. Le messager du dieu ADN, c'est le dieu Hermès de la cellule, l'ARN messager.
Les chefs d'orchestre qui répartissent le travail des messagers sont les micro-ARN. Et l'impertinente épigénétique vient bousculer cette architecture bien ordonnancée, par-delà l'Olympe. Quant au transhumanisme de notre prétendu Olympe contemporain, il est d'un archaïsme millénaire.
Voir le dossier : L'épigénétique va définir la médecine préventive de demain

Georges Bernard Indochine Viet Nam

Georges A. Bernard, Alsacien explorateur savant et diplomate, Directeur de l'Instruction Publique du Tonkin, qui à Saïgon introduisit le pasteurien Alexandre Yersin, découvreur du bacille de la peste, à sa Majesté Bao Daï, Empereur d'Annam et dernier empereur du Vietnam

Georges Bernard Bao Dai

HIER, AUJOURD'HUI, DEMAIN

Absorber la totalité des savoirs médicaux nouveaux qui "sortent" chaque année demanderait 25 années de lecture ininterrompue à un médecin d'aujourd'hui. Et la somme des connaissances accumulées entre 1950 et 2000 est supérieure à la somme de celles accumulées depuis l'origine de l'humanité jusqu'en 1950.

Nous vivons une prodigieuse accélération de l'évolution et pour se préparer à vivre avec et au sein de nos créations du futur, dans une société saine, il nous faut plus de sagesse et moins d'hubris. Pour cela, plusieurs niveaux de régulation sont envisageables :
- la communauté scientifique transdisciplinaire (à l'abri des lobbys) ;
- les autorités morales, religieuses, scientifiques, politiques (à l'abri des marchands d'éthique) ;
- le consensus citoyen (à l'abri du militantisme idéologique)
- la régulation politique (à l'abri du clientélisme électoral)

chréodes fessier formes forces

INSTITUT PASTEUR, Saïgon 1895

En 1902, Alexandre Yersin participa à la fondation de l'École de médecine de Hanoi et en devint le directeur pendant quelques années. .
En 1904, l'Institut Pasteur de Paris confie la responsabilité de l'Institut Pasteur de Saïgon à Yersin.

Nouvelles méthodes, nouveaux outils

Rappels historiques : trente ans après sa parution, "Le Macroscope" de Joël de Rosnay reste le livre fondateur de l'analyse systémique en France. Selon son auteur, Joël de Rosnay, elle facilite la compréhension et l'étude de l'infiniment complexe, comme le microscope l'étude de l'infiniment petit et le télescope celle de l'infiniment grand.
La porte s'entrouvre sur un nouveau champ qui appelle de nouveaux outils, de nouveaux concepts, afin d'assumer pleinement cette complexité réelle et native du monde dont l'homme sait, à présent, qu'il fait totalement partie intégrante.
De l'époque 1985 à 1995 émergent aux États-Unis les sciences de la complexité. Une des grandes thématiques est alors de s'interroger sur l'accroissement de la complexité dans la société. C'est à cette époque que de nouveaux modèles, la théorie du chaos, la dynamique des réseaux (à ne pas confondre avec les réseaux dits sociaux) ou les organisations fractales, sont utilisés pour l'étude et l'analyse de systèmes complexes. À partir de 1995, nouveau départ, nouveau saut de connaissance.

Instruction Publique Tonkin Indochine

RETOUR SUR IMAGES

Par notre mental et la voie de la "réminiscence", nous pouvons remonter dans le passé et retrouver des scènes très anciennes. Dans l'histoire de l'Univers, rien ne s'efface. Le passé ne disparaît pas. Les souvenirs ne s'éteignent pas avec la mort, ils peuvent continuer à agir par résonance aussi longtemps qu'il y a un système vibratoire avec lequel résonner. Toutes les mémoires du passé, du présent et du futur s'influencent mutuellement

CERVEAU et MÉMOIRE

Le problème de la science actuelle est qu’elle suppose que l’esprit est limité au cerveau. Le cerveau, trop petit pour contenir la mémoire, n’est pas un organe de stockage mais un organe de liaison avec la banque de données du champ morphogénétique dans laquelle se mêlent passé, présent et futur. Nous ne transportons pas nos souvenirs dans notre tête, la mémoire n'est pas inscrite dans le cerveau, nous nous branchons sur nous-même dans le passé. Ainsi, l'oiseau n'apprend pas à construire son nid, il se le "rappelle".

cerveau mémoire

PASSÉ, FUTUR

La mémoire qui permet de conserver les représentations imaginaires qui "marchent" et dont la pertinence (que l'on appellera, plus tard, "vérité") sera renforcée à chaque application réussie. La mémoire s'enrichit des inventions du présent. Tout le passé, toujours, contraint partiellement chaque futur.
Les cultures traditionnelles (celles qui ont duré et qui dureront des millénaires) sont celles qui se sont construites sur le respect des sages.

émergence
mémoire

EMERGENCE

Des processus quasi fusionnels peuvent s'enclencher autour d'une passion commune, d'un projet motivant, ou plus simplement autour d'une nécessité locale de survie collective. Pour exemple, cette multitude de projets de réinformation autour du Covid, concernant l'absurdité du pass sanitaire, vaccination de masse, et autres décisions aussi liberticides qu'inefficientes, illustre parfaitement cette notion d'émergence, ici émergences humaines.

émergences fusion
adn arn virus vie mémoire temps

LA COMPLEXITÉ, science du XXIè siècle

La percée spectaculaire de la biologie moléculaire avait contribué à promouvoir une vision analytique, réductionniste du vivant. La science est désormais passée à l'ère de l'émergence et de l'auto-organisation. A la fin du XXè siècle, les sciences de la complexité se sont imposées, et l'Ecole d'Ilya Prigogine (prix Nobel de chimie en 1977) en a été le moteur.
Les sciences de la complexité ont maintenant pignon sur rue, au même titre que la biologie moléculaire et la génétique. Elles ne supplantent pas l'approche analytique mais la complètent.

vbanque de cellules souches. Culture cellulaire pour le diagnostic biomédical

LOIS

Des domaines aussi différents que la physique, la chimie, la biologie, les sciences sociales et économiques sont régies par un certain nombre de lois communes qui peuvent être étudiés par des méthodes similaires. Des forces de cohésion, extérieures à ces systèmes complexes, leur permettent de s'auto-contrôler, ils deviennent dynamiques, adaptatifs et sont le moteur de leur propre organisation. Avec le vivant apparaît l'auto-organisation, et les sciences de la complexité sont nées de ce constat. Les étapes de cette auto-organisation sont marquées par une succession d'instabilités, de "catastrophes". Lorsqu'un équilibre atteint un seuil critique, il suffit d'un seul grain de sable pour déclencher une avalanche. Une nouvelle organisation apparaît

virus

La VIE

Le premier virus fut un pont entre Matière et Vie. La Vie c'est de l'information et de la mémoire !
Il y aurait près de 4 milliards d'années, seulement 500 millions d'années après la formation de la Terre, les premiers êtres vivants, des cellules sans noyau, les procaryotes ancêtres de nos bactéries, sont apparus. Grâce à divers mécanismes, les bactéries peuvent acquérir de grands ensembles de gènes en commun et forment une "souche". Les êtres vivants ne cessent d'échanger des gènes qui nous viennent pour une bonne partie d'espèces microscopiques, dont les virus.
On sait que les virus à ADN comme la variole, sont des virus très stables qui ont peu de chance de muter de façon significative. La copie de l'ADN est un processus très sécurisé qui laisse peu de place à l'erreur et les laboratoires peuvent aisément produire un vaccin efficace.
A l'inverse, l'instabilité et la grande variabilité du virus à ARN expliquent pour partie la situation d'échec vaccinal dans laquelle nous nous trouvons face au sida, et les tours pendables que nous réserve le Sars-Cov-2 et la Covid-19.

L'obstination à faire du vaccin la réponse à toutes les maladies infectieuses conduit à des dépenses pharaoniques pour des résultats aujourd'hui proches de zéro quant à la majorité des virus à ARN. Pour la grippe, c'est un peu différent, même si le vaccin se situe entre 20% et 60% d'efficacité selon les années, le bénéfice/risque est évident pour le personnel soignant et les enfants. Les bénéfices de cette vaccination sont bien supérieurs aux risques. Dans cette affaire, ceux qui parlent d'antivax (leurs boucs émissaires) sont des charlatans. Tout le monde sait que Pasteur, un peu par hasard, réussit à reproduire le mécanisme biologique et inventa la technique de "l'atténuation de la virulence microbienne", le principe même du vaccin.

La Vie est un processus complexe, propriété émergente, issue des systèmes physico-chimique improbables mais bien réels. Mais la Vie n'est pas et ne sera jamais réductible aux réactions biochimiques dont elle émerge. Le dogme du tout-génétique s'effondre; l'organisme est loin d'être entièrement déterminé par son ADN. La vie n'est pas seulement génome. Le génome apparaît plus comme le répertoire des possibilités et des contraintes que comme le créateur et le contrôleur de l'organisme.
Les cellules forment un ensemble informationnel qui n'est pas mémorisé dans les macromolécules d'ADN ou d'ARN. Le plan de la maison est ailleurs. Où est-il ? Nous l'ignorons.

connexions

ADN, ARN et mutations

Des stress subis par la cellule provoquent une instabilité qui peut se répercuter sur le génome : des gènes sont susceptibles d'être activés ou désactivés (induction ou inhibition des ARN messagers), des gènes sauteurs se déplacent, se recopient, forment de nouveaux gènes, les mutations sont accélérées.

Les cinquante dernières années ont marqué un progrès spectaculaire dans tous les domaines de la connaissance. De tels progrès sont sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Chez l'homme, la culture est devenue le moteur de l'évolution. Elle est le résultat de l'expérience acquise au cours de toute une vie. Grâce au langage et l'écriture une partie croissante de cette expérience est conservée et transmise aux générations futures. Ecrire des livres pour partager la connaissance fait partie de ce processus parmi les germes qui permettront de bâtir les civilisations futures. Si vous donnez de l'information à quelqu'un, vous en disposez encore. C'est le sens du proverbe chinois : "Si vous donnez un poisson à quelqu'un, vous le nourrissez un jour. Si vous lui apprenez à pêcher, vous le nourrissez pour la vie."
Avec la vie, la nature a découvert un processus de réplication de l'information comme le font les microbes, c’est-à-dire un formidable processus de multiplication de l'énergie dissipée.
Cette coopération accroît le besoin d'échanger et de mémoriser de l'information. Nées de ce besoin, l'écriture et la monnaie ont facilité la transmission des richesses matérielles mais aussi culturelles. Des époques de coopération succèdent à des époques de compétition. On assiste à la formation de ce cerveau global, la noosphère. Chaque individu peut maintenant se connecter quasi instantanément avec n'importe quel autre parmi des milliards d'individus sur toute la planète. On assiste à une mise en mémoire frénétique des connaissances de l'humanité, de façon à les rendre accessibles sur le web. Cette mise en mémoire va accélérer l'évolution de l'humanité.

META LANGAGES et META LOGIQUE

L'Esprit est le dernier en date des échelons de la complexité. Il est la forme la plus élaborée de l'énergie originelle. L'Esprit doit pouvoir graver son contenu. Pour cela, il reste encore des myriades de langages à inventer qui s'ajouteront au langage des mots, de signes, de symboles, de formes, de glyphes, de gestes, de couleurs, de sons... L'esprit requiert un nouveau langage, non linéaire, pour s'y couler. Mais pour longtemps encore, les langages devront êtres traduisibles en code binaire, faute de quoi ils ne pourraient guère proliférer aux travers des réseaux physiques de la noosphère.

Tout est processus

La mémoire de la Vie ne se trouvant manifestement pas à l'intérieur des composants génétiques, elle ne peut se situer qu'à l'extérieur, dans un autre espace que l'espace microscopique de ses constituants.
Voir : la Noétique de Marc Halévy

intelligence artificielle IA

L'INFORMATION

L'information constitue l'élément central de notre civilisation mais avec le Big Data, les gens ne font plus de différence entre les données réelles, leur interprétation et les données digitales dont les GAFAM détiennent désormais le monopole. La puissance financière de ces géants du web leur permet d'entretenir le mythe ridicule du transhumanisme et ainsi, de mettre la main sur toutes les innovations médicales mondiales à venir.
L'idée qui agit derrière ce mythe absurde, est de remplacer, au fur et à mesure de leur usure, les organes défaillants du corps organique par des prothèses technologiques et micro-technologiques. Mais des biologistes néerlandais et américains ont démontré que la vie humaine est plafonnée à 115,7 ans pour les femmes et à 114,1 ans pour les hommes.
"Notre dignité humaine est attaquée de toutes parts par des projets mercantiles qui prétendent tuer la mort !" Pierre Marie Lledo

intelligence artificielle

TRANSHUMANISTES : charlatans des temps modernes

Lors de la pandémie Covid-19, un laboratoire de brousse proposait un vaccin contre la Covid-19 efficace à 120% avec retour de l'être aimé, richesse et fin de l'impuissance sexuelle. Ces mages et marabouts sont-ils si différents des spin doctors et lobbystes qui arpentent les allées des Palais et des Congrès, munis de leurs valises remplies de billets et de promesses électorales ?
Lorsqu’est née la philosophie (puis sa fille, la Science) aux VIe et Ve siècles avant J.-C, simultanément en Grèce, en Chine, en Inde et au Moyen Orient, l’or et l’argent assuraient les transactions commerciales, mais aussi toutes sortes de colifichets, amulettes et talismans aux vertus protectrices et magiques pas très éloignées de nos urnes et bulletins secrets.

Nous avons doublé notre longévité sur une courte échelle de temps, c'est une prouesse prodigieuse, mais nous avons atteint un seuil indépassable, malgré ce que nous racontent les bonimenteurs des temps modernes qui prétendent fabriquer un nouvel humain quasi-immortel.
"La chirurgie, longtemps un métier de scies et de perceuses, est maintenant assistée, guidée, voire télé-assistée et robotisée". On ne peut que féliciter de telles performances. Mais dans la foulée, on nous annonce les prothèses intelligentes et toutes les applications des nanotechnologies, la cryogénie (congeler les corps), le mind-uploading (télécharger la conscience dans un univers virtuel ou dans de nouveaux corps), etc. Un humain uploadé pourra ainsi faire des sauvegardes de sa conscience. Hier on se confessait chez monsieur le curé, demain on fera une mise à jour de notre conscience. Encore faudrait-il que cette conscience existe chez tous ces candidats à la vie éternelle.

Quoi que puissent en dire et en rêver les "fondus de la technologie", il y a infiniment moins de complexité dans une navette spatiale, une station orbitale ou tout Internet que dans une seule petite cellule vivante. Et il est plus facile d’envoyer une fusée sur Mars que de modéliser la préparation d’un bon cassoulet.

manipulations génétiques

BRICOLAGE DU VIVANT

Nous faisons évoluer notre environnement à une vitesse supérieure à celle à laquelle nous sommes capables de nous y adapter. Nos solutions à court-terme ne font qu'aggraver les problèmes. Nous devons donc ralentir, consommer moins, vivre plus frugalement. Après encore bien des péripéties, l'humanité va peu à peu atteindre l'âge de raison pour former une symbiose de tous les êtres humains, comme notre corps forme une symbiose de toutes nos cellules.

Depuis que l'homme existe, sa vie n'a cessé de s'améliorer. Aux temps préhistoriques, l'espérance de vie n'était que de 30 ans. Depuis, elle a plus que doublé. Avec les progrès de la médecine, malgré quelques dérives temporaires, elle continue d'augmenter. Avec les secrets de l'épigénétique, nous apprenons peu à peu à rester en bonne santé et bien vieillir.

"Vieillir jeune" et en bonne santé plutôt que simplement vivre plus vieux : les recherches internationales sur l'épigénétique prennent une importance considérable parce qu'elles touchent à notre vie quotidienne. Des centaines de laboratoires dans le monde travaillent déjà sur le rôle de l’épigénétique dans le traitement du cancer, le ralentissement du vieillissement, l’amélioration de la santé et le maintien d’une santé équilibrée permettant de se prémunir contre les maladies microbiennes, virales ou encore dégénératives liées à l’âge. Le défi dès lors est de manager son corps avec l’épigénétique. Pour agir sur son corps et sur sa vie il est nécessaire d’en comprendre le mode d’emploi pour mieux prévenir les maladies.

nouveau paradigme

LIBERTÉ

La liberté ne se réclame pas, elle se prend et elle s'assume. Le but du monde est le développement de l'esprit... et la première condition du développement de l'esprit, c'est sa liberté.

Les politiques doivent écouter ce que disent les scientifiques et les médecins de terrain. Trop souvent nos gouvernements prennent des décisions sous la pression des médias et des réseaux sociaux, et de leur emballement qui amplifient les angoisses. La communication est souvent dans le superficiel et l'urgence. Des décisions sont prises à la hâte, sans réelle concertation avec les professionnels de santé, d'où cette cacophonie et ces effets d'annonce contradictoires.

Les incidences de la maladie covid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu'elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l'évidence disproportionnées .
De plus, malgré le forçage vaccinal rien ne marche, mais avec un peu plus d'acharnement, qui sait ? Vous reprendrez bien une dose pour la route et une ration de panique pour la suivante ?

QUELQUES CHIFFRES...

Vaccination, évaluation du bénéfice/risque :
- Les effets secondaires sévères de la vaccination seraient, officiellement, de l'ordre de 0,020%.
- Si c'est le cas alors, c'est 8 fois plus élevé que le risque d'être hospitalisé pour covid (0,0025%)

En comparaison :
- Il y a 0,075% de chance d'être impliqué dans un accident de la route en 2020 soit 30 fois plus.
- Il y a 0,099% de "chance" d'être en soins pour la grippe (2019-2020 puisqu'il y a eu 60 000 hospitalisations aux urgences à rapporter à 60 millions France) soit 40 fois plus.
Consulter les graphes : vaccinés, non vaccinés, valeur absolue ou relative

Bilan 2020 :
- "Seulement" 2% de l'activité totale hospitalière en 2020 a été consacrée au COVID (Sources ATIH)
- Pour Covid, au plus fort, c’est-à-dire la semaine du 23 au 29 mars 2020, on a eu 140 malades.
- Pour les moins de 65 ans il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 (et seulement 4% chez les + de 65 ans, mais très faible.

Décembre 2021 : le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières .

Allemagne: 60% des cas Omicron sont double- ou triple-vaccinés (Rapport hebdomadaire du Robert Koch Institut -RKI-, Autorité de Santé Allemande, en date du 30 décembre 2021)

Le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. Cette nouvelle religion qui se répand dans le monde permet aux deux "Big Labos" de ces vaccins d'engranger 1000 dollars de bénéfice par seconde. Pourtant, la réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n'enraye nullement la propagation de l'épidémie.
La technologie utilisée dite à ARN messager est très innovante et c'est très certainement une technologie qui apportera dans le futur de grands bienfaits à l'humanité. Mais nous avons brûlé les étapes et oublié qu'une cellule vivante est la chose la plus complexe de l'univers.

Les personnes vaccinées sont majoritaires dans les admissions à l'Hôpital, y compris dans les décès.

Le vaccin n'a pas tenu ses promesses :
1 - empêcher la maladie de circuler
2 - empêcher la personne vaccinée d'attraper le virus
3 - développer des formes graves de cette maladie.
Les deux premiers points ont complètement échoué. Le manque d'efficacité nécessite de faire des doses de rappel tous les 6 mois, puis 5, puis 3... L'efficacité dégringole au fur et à mesure de l'apparition de nouveaux variants

SORTIR DE L'IMPASSE

Deux ans déjà ! Le chaos sanitaire qui joue les prolongations n'est pas le résultat de l'agression virale mais bien de la nature des décisions prises pour lutter contre lui. Alors que des comités de plus en plus restreints décident pour des millions de français, nous manquons de débats citoyens et scientifiques pour confronter publiquement les choix fondamentaux retenus et les principales raisons qui les déterminent. Et l'ampleur de ce déficit s'accentue.

Nous savons ce qu'il nous reste à faire pour sortir de cette impasse par le haut !
CORONAVIRUS. La comédie continue… Par Marc Halévy et Néa Bernard - Éditions LAURENCE MASSARO
Publication de l'ouvrage : janvier 2022

HIER

Business de la peur : les algorithmes de l'angoisse. L'usage simpliste et abusif d'une théorie aussi puissante que celle de Darwin a donné lieu à de nombreuses dérives et ce Darwinisme primaire sévit toujours.
Aux manettes de ces dangereuses dérives, des technocrates, des groupes pharmaceutiques et des autorités sanitaires qui prétendent représenter la science. Big Pharma, Big Data, Big Science, Big Brother... 90% de la recherche est financée par… Big Pharma, ces firmes dominantes de l'industrie pharmaceutique, et cela constitue un biais gigantesque. Comment être objectif quand une carrière dépend de grands laboratoires ?

AUJOURD'HUI

Provax, antivax, deux clans irréconciliables ? Les relations entre les hommes se réduisent trop souvent à des oppositions, les riches contre les pauvres, la droite contre la gauche, l'inné ou l'acquis, et la stupide querelle du genre : le sexe est-il biologique ou culturel ? Et à présent, les provax contre les antivax !
Les Français ne sont ni "provax" (pour les vaccins) ou "antivax" (contre les vaccins). Ils veulent comprendre et être libres d’exercer leur consentement éclairé. "Quand on ne vous laisse le choix qu'entre soumission ou exclusion, choisissez le courage"

DEMAIN

A chaque époque les croyances scientifiques se réfèrent à un consensus général appelé "Science normale". On lui ajoute des codicilles et des exceptions jusqu'à ce qu'elle devienne informe ou inintelligible.
Le 21ème siècle connaîtra l'équivalent de vingt mille ans de progrès et de changement technologique, mais la solution n'est pas tant dans toutes ces prouesses technologiques que dans notre capacité à changer de comportement. Grâce aux sciences de la complexité, nous connaissons désormais les règles scientifiques de base qui permettent d'agir et interagir beaucoup plus rapidement sur notre corps et notre environnement, en nous préservant des dérives du transhumanisme et de son forçage technologique qui nous mènerait au suicide collectif

L'avenir est dans la capacité de coopération pour construire ensemble notre avenir. Nous entrons dans l'Âge de la connaissance, cette nouvelle étape de l'évolution de l'humanité grâce au partage planétaire des savoirs et des richesses préservant la variété des cultures et des libertés. Au fil des interactions, on voit apparaître ça et là des communautés en ligne d'experts et de profanes qui permettent de bâtir des échanges constructifs. La pertinence de ces "communautés épistémiques" et leurs modes d'organisation ont considérablement évolué en quelques années. La civilisation des intelligences, de l'esprit et de la connaissance est à présent ouverte et à explorer.

APRÈS LA CRISE DE TOUT

Au travers de l'homme et de son cerveau, le cosmos commence à engendrer une nouvelle couche évolutive qui est la noosphère. On l'a vu, l'esprit est le dernier en date des échelons de la complexité dont l'homme est le porteur et le passage.
Du moléculaire aux cellules, organes, individus jusqu'aux écosystèmes, ces composants de plus en plus complexes obéissent aux mêmes lois, celles des systèmes complexes. L'histoire de la vie est une montée vers une coopération formant des structures de plus en plus complexes. L'humanité est en train de bâtir une nouvelle civilisation planétaire qui succèdera à cette crise de tout.

SAPIENS COSMIQUE

"Notre Terre bien que poussière infime à l'intérieur du cosmos, pourrait bien être la semence unique à partir de laquelle l'intelligence se répand dans la galaxie. Crée par l'univers, l'Être vivant en devient co-créateur. Il nous faut réinventer notre place, devenir des adultes cosmiques pour affronter le nouveau Réel qui nous est proposé, sans pouvoir compter sur quelque créateur, révélation ou incarnation divine". Marc Halévy

évaluation

Sources : John Ioannidis

John Ioannidis est l’épidémiologiste le plus renommé au monde. Professeur aux Département de médecine, Département d’épidémiologie et de santé des populations, Département des sciences des données biomédicales et Département des statistiques à l’Université de Stanford (Californie), il y co-dirige le Meta-Research Innovation Center at Stanford (METRICS). Le Pr Ioannidis est LA référence mondiale en matière d’évaluation de la qualité scientifique de la recherche, tout en étant un homme humble.

Nouvelle étude du taux de mortalité de l'infection au COVID, période d'avant-vaccination. Par Ioannidis et ses co-rédacteurs qui ont passé en revue 40 études nationales de séroprévalence couvrant 38 pays, pour déterminer leur estimation du taux de mortalité de l'infection pour une majorité écrasante de gens.

— ) Ces toutes dernières évaluations (en pré-print) montrent que la létalité avant vaccination du Covid sur les tranches d'âge inférieures à 70 ans s'avère encore inférieure à ce qui avait été évalué. Soit une létalité égale en réalité à celle de la grippe pour les adultes jusquà 69 ans et même inférieure pour les jeunes et les enfants !

— ) "Comment a-ton transformé une épidémie gérable et bénigne en catastrophe sanitaire ?"
Bilan des mesures dites "sanitaires" contre le Covid19 (dites "interventions non-pharmaceutiques") : confinements et fermetures (entreprises, écoles, commerces "non-essentiels"), restrictions (couvre-feu, fermetures des bars et des restaurants), blocage des frontières, usage généralisé de tests PCR, systèmes et applications de traçage, imposition du port du masque, distanciation sociale, pass sanitaire, télétravail, etc.

Conclusion
1) Les mesures concernées avaient été évaluées comme sans utilité probante dans tous les plans pandémie de référence.

2) Les méta-analyses les plus solides confirment cette absence d'effets utiles au cours de la crise Covid alors que les effets dommageables et même destructeurs, sanitaires et sociaux, sont massifs.

3) Les études aboutissant aux conclusions inverses ont un très faible degré de preuve.

Il faut impérativement mettre fin à ces mesures partout où elles sont encore en vigueur et éviter de les ré-imposer à l’avenir.
Il va de soi qu'une protection ciblée sur les personnes âgées de plus de 70 ans et sur les personnes présentant des risques significativement élevés aurait été une mesure nettement préférable.

John Ioannidis, avec plusieurs autres auteurs, a publié récemment cette récente étude du taux de mortalité de l'infection au COVID. L'article considère la période d'avant-vaccination, et couvre les groupes d'âge non-séniors, les personnes les plus affectées par les restrictions et les mesures sans fin justifiées par le COVID.
Pour le groupe d'âge 0-69 ans, qui couvre 94% de la population mondiale, le taux de mortalité était de 0,095%, c'est-à-dire que le taux de survie pour presque 7,3 milliards de personnes était de 99,965%.

Pour les professionnels : le pré-print, en anglais


régulation évaluation

Régulation Adaptation

Nous sommes en phase de transition et c'est dans cette zone fragile et instable que peuvent naître les structures de demain que nous pouvons cocréer.
Pour atteindre un nouvel équilibre nous devons accepter les risques de changement. Nous sommes les acteurs d'une pièce encore inédite.
Nous vivons une prodigieuse accélération de l'évolution, et pour se préparer à vivre avec et au sein de nos créations du futur, dans une société saine, il nous faut plus de sagesse et moins d'hubris.


Âge de la Connaissance

Plusieurs niveaux de régulation sont envisageables pour baliser notre chemin :
— ) La communauté scientifique transdisciplinaire (à l'abri des lobbies)
— ) les autorités morales, religieuses, scientifiques, politiques (à l'abri des marchands d'éthique)
— ) le consensus citoyen (à l'abri du militantisme idéologique)
— ) la régulation politique (à l'abri du clientélisme électoral)

Voir l'ouvrage pages 45 - 46 : message à tous les citoyens du monde.
Tout interagit avec tout. Petites causes, grands effets

Il y a cent ans...déjà !

Ci-dessous, en Indochine : "Si l'on considérait le maintien de la France que sous l'angle culturel et médical, le maintien de la position matériele s'en suivrait automatiquement"

Hommage à la Science, par le Président Hoover
Agrégé de sciences physiques, Mr Georges Bernard fut un de ces parfaits artisans de cet aspect de la présence bienfaisante de la France en Indochine : l'Education

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